Ainsi le Togo a engagé depuis 2005 des
réformes institutionnelles et constitutionnelles afin de consolider son processus démocratique et de renforcer les capacités des institutions
  • la constitutionnalisation de l’interdiction de la peine de mort et de la condamnation à perpétuité.
  • l’érection de la torture en crime imprescriptible dans le nouveau code pénal.
  • l’ouverture de la saisine de la Cour Constitutionnelle à la CNDH et aux autres institutions, etc..
la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques est une exigence de la gouvernance démocratique et les prochaines élections locales seront une occasion supplémentaire pour

les Togolaises et Togolais de prendre conscience qu’ils sont en réalité les acteurs de leur propre développement.

Notre leitmotiv est de faire des droits de l’homme un outil au service de la réalisation des objectifs du Plan national de développement (PND) en adoptant une approche des politiques publiques basées sur les droits de l’hommes.